Je l’attendais avec impatience (je ne crois pas être la seule!), et enfin, j’ai pu me plonger avec délectation dans les 565 pages du dernier opus du maintenant légendaire Dan Brown. Toujours à succès, toujours controversés, ces romans nous plongent dans des intrigues mêlant culture, histoire, intrigue…
Inferno ne fait pas exception à la règle et des la première page, la première ligne, je me suis retrouvée prise en otage par l’enquête époustouflante de Robert Langdon, ne pouvant plus me détacher du livre avant d’en avoir épuisé les lignes. Après les oeuvres de De Vinci, Michelange et du Bernin (entre autres), c’est à la Divine Comédie de Dante que Dan Brown redore le blason, ainsi qu’aux oeuvres dédiées à la représentation allégorique de l’Enfer. On peut toujours y trouver des invraisemblances, il est vrai que l’histoire arrive, à certains moments, à bout de souffle et rebondit sur quelques exagérations, mais malgré tout cela, on ne peut que tirer son chapeau aux analyses fines du narrateur des oeuvres géniales et diablement symboliques qui font avancer nos protagonistes vers la clé de leur rédemption et une incroyable conclusion sur fonds de sujets on ne peut plus contemporains.
Toujours captivant, drôle, le récit évolue avec aisance et moult suspens, des méandres des rues florentines à la grande Rome, rappelant cette passion à présent affirmée de l’auteur pour une Italie regorgeant d’innombrables mythes et toujours teintée de mystères.
Grande fan de Dan Brown, j’ai lu tous ses livres et bien que celui-ci ne remplace pas encore Anges et Demons dans mon palmares, j’ai passé de fantastiques moments de lectures, plongée dans les mystères diantrement savoureux de cette nouvelle aventure…

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